par Coralie Quevrin | le 17 janvier 2018 | revue 22 / AUTISME | thème Clinique
Dans son livre Si on me touche, je n’existe plus1, Donna Williams, autiste de haut niveau, nous explique que si le rire peut être l’expression du relâchement de la tension et de l’anxiété, il peut également être l’expression de la peur. La clinique au quotidien avec certains jeunes autistes que nous accueillons en institution nous indique aussi que le rire, contre toute attente, peut s’avérer plus ravageant qu’apaisant.
1 Williams D., Si on me touche, je n’existe plus, Paris, J’ai Lu, 2005, p. 305.