11 / KEL EPOK GEEK / mars 2013

Mon stage au Courtil : une rencontre

 

« Je ne sais pas – Je veux savoir »

Troisième année en Faculté de Psychologie, en Argentine (Faculté qui n’est pas orientée par la psychanalyse lacanienne) : la psychose – et surtout la psychose infantile – est une énigme ; dont on ne parle pas ; sauf pour dire « qu’il n’y a rien à faire », et, « surtout pas avec la psychanalyse ». Des enfants psychotiques ? « Les stabiliser », « les médiquer », « les éduquer, les adapter par des méthodes ou techniques comportementales » disent des professeurs…

Beaucoup de questions tournent dans mon esprit alors : qu’est-ce que la psychose ? Le psychotique est-il forcément déficitaire ? Une clinique de la psychose orientée par la psychanalyse est-elle possible ? Comment ? Comment s’adresser à un sujet psychotique ? Est-il nécessaire de l’éduquer pour mieux l’adapter ? Toutes ces questions – entre autres – ont constitué ma motivation pour demander à faire un stage au Courtil. Ne trouvant pas une réponse dans mon université auprès des professeurs, j’avais pensé que cette réponse, j’allais la trouver au Courtil.

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