Numéro 2 / mars 2012

Sanction et traitement de l’Autre : quelle responsabilité subjective ?

Au Courtil, on ne punit pas ? « Punir ou sanctionner ne servirait pas le sujet lorsqu’il est de structure psychotique », avons-nous l’habitude de dire. Cela ne viendrait-il pas entériner une certaine irresponsabilité, qu’elle soit du sujet ou de l’intervenant ?

Ce n’est pas la position de Lacan... Serge Cottet nous le rappelle dans son texte « Criminologie lacanienne » : « l’’’homme se [fait] reconnaître de ses semblables par les actes dont il assume la responsabilité’’ [...]. Pourtant le châtiment joue un rôle dans la rectification subjective. Lacan relève que la guérison du délinquant passe par l’’’intégration par le sujet de sa responsabilité véritable’’ »

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