« Est-ce que tu crois que ma mère, elle m’aime ? »
par
Séverine Olivieri |
le 15 juin 2016
Je souhaiterais à travers ce travail, retracer le parcours de F. et surtout reprendre ses tentatives de mettre des mots sur une jouissance qui l’envahit, une érotisation du lien à l’autre tant sur le mode discursif que corporel. Lorsque ce jeune homme ouvrait la bouche, on était donc souvent dans le registre de l’obscénité. Cependant, au fil du travail, cette parole obscène et les débordements du corps tendent à se pacifier, et notamment via l’écriture.
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