Numéro 4 / mai 2012

L'autisme entre urgence et nécessité

Ce texte est la reprise d'une conférence que Jean-Pierre Rouillon est venu prononcer au Courtil le 21 septembre 2010, dans le cadre du Séminaire des Bibliothèques.

Je remercie Bernard Seynhaeve pour son invitation à venir vous parler aujourd’hui. Je le remercie d’abord pour le plaisir de venir ici au Courtil, de pouvoir participer à votre travail d’élaboration. Je le remercie parce qu’il me permet ainsi de dialoguer avec vous d’une question sur laquelle je travaille depuis plusieurs années et qui me semble primordiale pour l’institution que j’ai l’honneur de diriger. C’est une question qui s’est imposée au fil des années. Je dirais plutôt qu’elle s’est progressivement installée à partir du travail d’élaboration que nous avons conduit dans l’institution. Cette question se pose principalement sur les deux groupes d’adultes que nous accueillons depuis un certain temps, un temps certain même. Elle ne se pose pas de la même façon pour les deux groupes d’enfants et d’adolescents, même si nous accueillons à l’heure actuelle plus d’adultes que d’enfants sur l’institut thérapeutique du fait de l’amendement Creton.

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